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Salutations à tous les Cybériens et
Cybériennes!
Cette Chronique n'est optimisée ni pour
Netscape, ni pour Internet Explorer, elle l'est pour
ses lecteurs et lectrices.
Cette semaine...
LES SOUS ET LA POLITIQUE
Année d'élection générale
au Canada, les grandes manoeuvres ont recommencé
avec la reprise des travaux de la Chambre des communes
et se poursuivront avec le dépôt mardi
prochain, le 18 février, du Budget 1997 qui
sera, à coup sûr, à saveur
électorale. Fidèle à la
tradition établie il y a déjà deux
ans, le
ministère des Finances du Canada diffusera sur
Internet le jour même, au moment du
dépôt du budget en Chambre vers 16 h 30
HNE, les publications budgétaires gratuites
(c.-à-d., Le Budget en bref, Le Discours du
Budget, et divers autres documents
budgétaires). Important pour ceux et
celles qui suivent de près l'économie
car, comme pour les budgets passés, celui-ci
pourrait comporter des mesures qui entreront en vigueur le
jour même du dépôt, donc qui
s'appliqueront à compter de minuit le lundi 17 février. On peut se renseigner sur les
sites miroirs qui offriront les documents
afférents au budget sur le site du
ministère des Finances.
On a bien hâte de voir ce budget
«piqué» par le Taon, le mensuel
en version électronique de la Chaire
d'études socio-économiques de
l'Université du Québec à
Montréal dirigée par le «comptable
agréable» Léo-Paul Lauzon, bien
connu pour son franc-parler.
ÉCHOS DE LA VALLÉE
Nouvel épisode des Échos de la
Vallée de l'Outaouais, notre Silicon Valley
à nous. Le journal Le Droit nous
proposait, il y a quelque temps, un portait-rencontre
avec un des visionnaires régionaux, Denzil Doyle. Issu d'une famille modeste du
comté de Pontiac, Doyle a été, et
continue d'être, un ardent défenseur de
l'industrie canadienne de la haute technologie, et il a
joué un rôle important dans la venue ici
de grands noms comme Digital. Fait surprenant,
Doyle est en butte à des
difficultés. «On me répond que
la haute technologie, ça ne pèse pas si
lourd dans notre économie. Que 50 milliards sur un PIB de 700 milliards de dollars, c'est
moins de 10 %. Nos leaders politiques ne
voient pas la technologie comme un instrument de
développement.»
Eh bien, caveat consules, ça va très mal
dans la Vallée, et on se demande pourquoi.
Le quotidien The Ottawa Citizen sonnait l'alarme cette
semaine. Les entreprises de haute technologie de la
région de l'Outaouais ne parviennent pas
à trouver la main-d'oeuvre qualifiée
nécessaire pour combler 2 000 postes vacants;
programmeurs, ingénieurs, analystes, etc.
Eh oui, vous avez bien lu, 2 000 emplois disponibles,
personne ne répond à l'appel.
Malgré les 18 000 mises à pied et
retraites anticipées dans la fonction publique
que l'économie régionale absorbe depuis
octobre dernier (tout en maintenant un taux de
chômage inférieur à la moyenne
nationale), malgré la présence de cinq
universités, malgré les programmes de
mobilité de la main-d'oeuvre, 2 000 postes
à pourvoir. Conséquence
fâcheuse pour l'industrie régionale, si la
main-d'oeuvre n'est pas mobile, les entreprises, elles,
le sont. Au cours de la dernière
année, sept des gros acteurs régionaux
(Northern Telecom, Newbridge, Cognos, Mitel, JetForm,
Lumonics et Corel) ont expatrié une partie de
leurs activités, principalement pour avoir
accès à un bassin suffisant de personnel
qualifié. Retombées néfastes
aussi pour le reste de l'économie si on
considère qu'un emploi en haute technologie
signifie, par phénomène
d'entraînement, trois ou quatre autres emplois
dans l'économie régionale. La
croissance du secteur n'est pas stoppée pour
autant, mais les responsables régionaux auront
fort à faire pour, à tout le moins,
maintenir son élan.
CYBERSONDES
Selon la plus récente étude LeadingEdge
1996 menée dans le cadre du Media Futures Program de
la société SRI Consulting, bien connue
pour son modèle de profils de clientèle
«Values and Lifestyles» (VALS), la
clientèle dite d'opinion conservatrice serait
sous-représentée sur Internet (bien qu'on
ait souvent l'impression que c'est le contraire). Selon le modèle VALS, 16 % de la
population américaine est bien ancrée
dans une pensée conservatrice, traditionnelle et
technophobe, et cette tranche démographique ne
constituerait que 3 % de la clientèle des
réseaux. Selon SRI, cette
sous-représentation s'explique par le malaise
ressenti à l'idée de devoir utiliser un
ordinateur, et aussi parce que cette clientèle
trouve sur Internet peu de contenu correspondant
à ses idées.
Autre point saillant, des 27,6 millions d'utilisateurs
et utilisatrices adultes de services en ligne aux
États-Unis (on fait donc exception des 6,3 millions d'enfants «branchés»),
seulement le quart passe une heure ou plus par jour en
ligne. Selon l'étude, la moitié y
passerait moins de 30 minutes par jour. On en
conclut donc chez SRI, à cause du faible nombre
d'heures consacrées à l'Internet, que le
branchement ne constitue pas encore une menace pour la
télévision.
Cette constatation va à l'encontre d'une autre
étude menée, celle-là, par la
société Nielsen pour le compte de America Online en septembre
dernier (avant qu'AOL ne connaisse les
difficultés que l'on sait). Dans les
foyers branchés à AOL, on passerait
15 % moins de temps à regarder la
télévision que dans les foyers non
branchés, soit sept heures par semaine de
moins. Cette dernière estimation cadre
davantage avec les résultats de notre propre
enquête où, sans faire état d'un nombre
précis d'heures, 62,69 % des
répondants disaient regarder moins la
télévision depuis qu'ils avaient
accès à l'Internet.
CONTENUS : NOUVELLE APPROCHE
Vu le faible nombre d'heures d'utilisation de
l'Internet constaté chez de larges segments de
la clientèle, on semble vouloir se diriger vers
des solutions qui tendront à optimiser ces
précieuses heures, à simplifier la
recherche de ressources de consommation courante, c.-à-d. ces sites où l'on retourne
régulièrement en raison de
l'actualisation périodique ou de
l'intérêt que l'on porte au contenu.
Une approche novatrice sera proposée, dès
avril, par Mining Co.,
nouvelle société lancée par un
ancien de MCI et Prodigy, Scott Kurnit. Mining Co. entend aller au delà des services en ligne
qui proposent 30 ou 50 services, et vise à
proposer près de 500 ressources
spécialisées depuis son site
principal. Pour y arriver, Mining Co. est
à la recherche de producteurs de contenus, une
grande famille de travailleurs autonomes en recherche
d'un revenu d'appoint, qui «entretiendront»
leurs pages et offriront à la clientèle
un service d'accompagnement plus étroit, plus
personnalisé, que ce que l'on trouve sur les
autres services (AOL, CompuServe, Prodigy, Genie,
etc.). Le montage financier propose aussi un
nouveau modèle pour la
rémunération des producteurs de
sites : forfait minimum de 250 $ par mois et
«redistribution» aux producteurs de 40 %
des recettes publicitaires de Mining Co. Comme
remise, on a vu plus généreux.
Certains gros acteurs de la publicité en ligne
manifestent déjà un intérêt,
dont IBM, AT&T, Nabisco et Duracell.
WEB EN MAL DE CHIFFRES
Qui n'a pas vu les compteurs d'accès sur les
pages Web. Qui n'a pas entendu parler des 20 millions de «hits» par jour sur des sites
comme ceux de Netscape ou du moteur AltaVista.
Qui n'a pas entendu parler des «cookies» - ou ne les a pas vus sur son propre
disque dur - qui servent
à enregistrer les visites sur un site. Le
Web est en mal de chiffres car, pour atteindre un seuil
de rentabilité, il importe de prouver aux
annonceurs que leurs bandeaux ont été vus
par X personnes à Y reprises etc. En
outre, l'analyse de l'activité sur un site
permet aux webmestres d'avoir une information de
première main sur les pages qui
«fonctionnent» ou qui sont moins
fréquentées.
La cybermétrie est un secteur
dérivé de l'Internet et illustre une
tendance forte, nous dit l'hebdo WebWeek. En juillet dernier, 12 entreprises
offraient des logiciels d'analyse d'activité de
serveurs (nombre d'accès sur pages, temps de
consultation, provenance de l'accès,
etc.). En novembre, pour répondre à
la demande croissante pour ce genre de produit et
capitaliser sur l'appétit sans borne des
annonceurs et exploitants de sites Web pour des
données précises sur la
fréquentation des sites, ce nombre était
passé à 57. Et pourtant, fait
surprenant, le marché des acheteurs est encore
relativement vierge. Un sondage récent du
cabinet de recherche Forrester auprès de 50 sites commerciaux révèle que seulement 11 d'entre eux disposaient d'un logiciel d'analyse
d'activité de serveur.
Normalisation des méthodes à
l'horizon? Pas avant 1998 prévoit Bill
Hopkins, directeur de recherche du Gartner Group, qui
croit que, d'ici là, seulement deux à
quatre logiciels se maintiendront et harmoniseront
leurs normes en une formule commune d'analyse
d'achalandage. À moins, précise-t-il, que Microsoft et Netscape n'intègrent de
tels outils à leurs logiciels d'exploitation de
serveurs, ce qui changerait les perspectives pour tout
le monde.
CYBERCITOYENNETÉ
L'excellent mensuel Computer Mediated Communications
nous offre, dans son numéro courant, un dossier
sur la thématique du Netizen, de la
cybercitoyenneté. En guise d'introduction, je vous
suggère l'article de Michael F. Hauben à
qui l'on attribue la paternité du concept et de
l'expression de Netizen. Le Netizen, on l'aura compris, c'est le
Network Citizen, le citoyen du réseau, le
Cybérien, la Cybérienne. Bien que
la notion citoyenne suggère qu'il y ait
appartenance à une définition nationale
ou géographique, la notion cybérienne
appelle plutôt, projet ambitieux, la
détermination de la nature du cyberespace.
Selon Hauben, cette notion cybérienne s'applique
tant à ceux et celles qui utilisent l'Internet,
comprennent sa valeur et son importance sur le plan
communicationnel, entretiennent des débats et
engagent des réflexions, qu'aux personnes qui
participent activement à son
développement. À lire aussi dans
cet intéressant dossier du CMC, l'article sur
l'octroi du statut de Netizen aux robots et agents
intelligents qui arpentent le Net.
MARCHÉ DES INTRANETS
Le marché des intranets en Grande-Bretagne
dépassera celui de l'Internet. C'est la
conclusion de Durlacher Multimedia dans un rapport
spécial sur les intranets qui
prévoit que, d'ici l'an 2000, il y aura
4,6 millions de serveurs intranet au Royaume-Uni et
seulement 400 000 serveurs Internet.
L'étude prévoit aussi que les intranets
représenteront 20 % des dépenses en
technologie de l'information, soit un marché
annuel de 5,6 milliards de dollars.
Une autre société britannique, Xephon, a
effectué auprès de 228 groupes,
organismes et entreprises à travers le monde une
étude sur leurs projets en matière
d'intranets. C'est 73 % des répondants qui
disent avoir l'intention de disposer d'un intranet
d'ici la fin de 1997. Trois serveurs intranet sur
cinq exploitent la plate-forme NT, bien que le choix du
fureteur idéal soit moins clair. Fait
surprenant, plus de la moitié des
répondants ne prévoient pas de mesures
visant à restreindre l'accès à des
données stratégiques, et 37 % ne
prévoient même pas de coupe-feu pour
interdire l'accès non autorisé de
l'extérieur du système.
PIRATAGE : ON A GONFLÉ LES CHIFFRES!
Nous vous rapportions, il y a quelque temps, des
chiffres assez troublants sur les pertes des fabricants
de logiciels, attribuables au piratage de leurs
produits; on parlait de 13 milliards de dollars, de
quoi insuffler à tout le monde un grain de
culpabilité. Eh bien la Software
Publishers Association et la Business Software Alliance
ont reconnu avoir gonflé les chiffres concernant
les pertes découlant de logiciels
utilisés sans acquittement de droits, question
d'attirer un peu plus l'attention sur le
problème. La nouvelle parue initialement
dans le St-Petersburg Times (introuvable sur leur site)
a été reprise par le service Edupage. La prochaine fois, on prendra ces
estimations avec un grain de sel.
LE WEB EN MODE TEXTE
Voici qui pourrait donner une seconde vie au parc
informatique que l'on croit désuet. Un
fureteur en mode texte que l'on peut exploiter en DOS
sur un PC-XT avec 640K de mémoire. C'est
Arachne, le produit que nous propose la compagnie
tchèque xChaos Software.
Bien que cette nouvelle ne risque pas de faire trembler
Netscape ou Microsoft, elle revêt
néanmoins une importance certaine dans certains
milieux. Que l'on pense à la dimension
communautaire de l'Internet, que l'on songe à
l'implantation des réseaux dans les pays en voie
de développement, que l'on envisage que les
PC i8086 et 286 reprennent du service, et voilà
qu'Arachne prend toute sa dimenson. À
l'essai, l'interface est conviviale et se manoeuvre
bien. Seul problème (qui serait sur le
point d'être réglé dans une
prochaine version), l'affichage des caractères
accentués.
APRÈS LE SON, VOICI LES IMAGES
Après RealAudio, la société
Progressive Networks nous
offre maintenant RealVideo, un logiciel qui promet de
vous apporter la transmission vidéo sur votre
écran d'ordinateur. On dit bien
«promet» car c'est encore assez rudimentaire
en 28,8 kBps, on dit que ça s'améliore
à 56 kBps. En revanche, il suffit d'avoir
connu les premières versions de RealAudio, et de
constater l'amélioration rapide de la
qualité dans les versions subséquentes,
pour dire qu'à terme, RealVideo (du moins sur le
plan logiciel) remplira probablement ses
promesses. Restera à régler le
problème de bande passante, mais c'est une autre
question.
Progressive Networks n'avait rien négligé
pour lancer RealVideo. La société
avait commandé au réalisateur
américain Spike Lee trois films de cinq minutes
pour démontrer le potentiel du logiciel.
Spike Lee, adepte de la technologie et de
l'Internet? Pas du tout, avant d'être
sollicité par Progressive Networks, Lee ignorait
que l'on puisse transmettre du vidéo sur
Internet. Du moins, c'est ce qu'il confiait en
entrevue lors du lancement.
ASTUCIEUX
La concurrence est très vive entre les
transporteurs aériens, et la moindre petite
économie réalisée sur les
approvisionnements, répercutée sur le
volume des achats, peut signifier en bout de ligne des
avantages appréciables. Prenons pour
exemple la société Japan Air Lines. Mine de rien, la JAL
achète plus de 1 200 articles différents
pour l'exploitation de ses vols de transport de
passagers (serviettes papier, gobelets en plastique,
oreillers jetables, etc.), et ce pour une valeur
marchande de 50 millions de dollars par
année. Depuis le début de
février, la JAL annonce sur son site Web
ses
besoins en matériel et invite les fournisseurs
étrangers à lui transmettre
électroniquement des offres de fourniture de
biens et services. La JAL s'approvisionnait
auprès de fournisseurs japonais pour tous ces
produits, mais espère maintenant réduire
ses coûts en ouvrant la porte aux fournisseurs
étrangers. Selon les responsables, cette
stratégie pourrait même amener certains
fournisseurs japonais à réviser leurs
prix à la baisse, ce qui pour la JAL se traduira
de toute manière par des économies.
TOUT AUSSI ASTUCIEUX
J'ai toujours mon passeport sur moi. Vieille
habitude, on ne sait jamais quand les bleus nous
prendront. Voici un nouveau service d'Air Canada,
un bulletin hebdomadaire par courrier
électronique vous informant des plus
récents rabais accordés sur diverses
destinations du transporteur. Il suffit de s'inscrire au programme
CYBERAUBAINES GO AC et chaque mercredi, à
compter du 19 février, vous recevrez le bulletin
dans votre boîte aux lettres
électronique. Il s'agit des annonces de
tarifs pour des excursions de courte durée, des
vols partant le samedi et dont le retour s'effectue le
lundi ou le mardi suivant.
MARCHAND DE CONTROVERSE
L'homme ne laisse pas indifférent.
Après un passage remarqué à une
émission de radio où, en entrevue, il a
qualifié certains de nos journalistes de
«choupettes» (sans les nommer, dommage, on
aurait voulu comparer nos opinions), Paul Marchand, le
chroniqueur des atrocités de Beyrouth et
Sarajevo a été mis à mal par tout
un pan de la classe journalistique
québécoise. Pour dissiper le
«malentendu», Richard Martineau du journal
VOIR a rencontré le journaliste français;
plus, il a lu son livre «Sympathie pour le
diable» (Éditions Lanctôt). Selon Martineau, le
livre n'est «pas un essai sur le journalisme de
guerre... pas une étude sur les origines du
conflit au Liban et en ex-Yougoslavie... pas une
thèse sur les ratés de la diplomatie
internationale... mais une envolée lyrique sur
la mort, un poème noir sur le sang».
Si le titre de l'article pose la question à
savoir qui a peur de Paul Marchand, on aurait eu envie
d'ajouter «et pourquoi?».
ESPRIT FIN DE SIÈCLE
Certains se tracassent avec la mise à jour des
ordinateurs pour afficher la date de l'an 2000, d'autres ont déjà
commencé le compte à rebours de notre fin
de siècle, à la seconde près, et
d'autres encore philosophent, à savoir que l'an 2000 ne sera pas la première année du
prochain millénaire mais bien la dernière
du présent.
Heureusement qu'il y a place aux sentiments et aux
états d'âme en cette période
charnière de notre histoire. «Lettres
d'un autre siècle»
est un
projet d'émission qui serait diffusée sur
les ondes de la radio de Radio-Canada. On dit
bien «serait» car il n'y manque que
vous. On vous invite à écrire une
lettre, peu importe la longueur, dans laquelle vous
exprimerez ce que vous souhaitez laisser comme
témoignage de votre passage à travers ce
XXe siècle qui s achève. Message
vibrant, lettre intime, «bouteille à
l'amère», tribune témoin du
millénaire, les lettres seraient lues dans le
cadre de cette émission en gestation.
Alors, où que vous soyez sur la planète
bleue, commencez à envoyer vos lettres d'un
autre siècle depuis le site Web du projet.
BEAU DÉTOUR
Cette semaine, un détour par l'Afrique au
féminin,
exposition de la photographe Sophie Elbaz que l'on peut
aussi voir jusqu'au 28 février 1997 à
PICTO BASTILLE à Paris. Un regard
particulier posé sur les femmes de l'Afrique de
l'Ouest, très près du concept de
«moment privilégié» cher
à Brodovitch.
12/18
Il y a 12 mois, dans la Chronique du 16 février
1996,
nous vous avons présenté Élysa du
Département de sexologie de l'UQAM, trois sites
pour qui veut connaître la java du Java, la
célèbre cause McLibel, et le SYTADIN pour
observer le trafic routier en temps réel
à Paris. Ah! la joie de circuler à
pied.
Et, il y a 18 mois déjà, dans la
Chronique du 15 septembre 1996, deux sites
informatiques. ChipShots, photographies couleurs
de microprocesseurs, prises au microscope. Et le
site de l'ENST Bretagne pour devenir spécialiste
de l'IP.
Bonne semaine à tous et à toutes,
jpc@cyberie.qc.ca
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