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Les Chroniques de Cybérie

Le 21 février 1997.
© Les Éditions Cybérie

Salutations à tous les Cybériens et Cybériennes!

Cette Chronique n'est optimisée ni pour Netscape, ni pour Internet Explorer, elle l'est pour ses lecteurs et lectrices.

Cette semaine, une chronique largement dominée par l'actualité...

L'ARBRE PRÉFÈRE LE CALME,
MAIS LE VENT CONTINUE DE SOUFFLER

Décès mercredi du leader chinois Deng Xiaoping.  La nouvelle s'est répandue à travers le monde, plus rapidement qu'en Chine, paraît-il.  Vos sources préférées d'information vous relaieront la suite des événements, mais voici deux textes pour approfondir sa compréhension de cette société qui demeure, pour beaucoup, énimagtique.  Deng, «empereur sans couronne, mais fort de ce mandat du Ciel qui, jusqu'au dernier souffle, confère la puissance» : les mots de Jacques Decornoy qui nous livrait, dans Le Monde diplomatique en mars 1995, un article intitulé «Qui gouverne la Chine».  Aussi, une analyse étoffée, comme toutes celles de la collection «Commentaire» du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), oeuvre d'un analyste anonyme, «La Chine en transition».  Je vous suggère tout particulièrement la section sur l'héritage de Deng Xiaoping.  On n'oubliera pas non plus le massacre de Beijing, le 4 juin 1989.  Le réseau américain PBS, dans le cadre de sa série d'émissions Frontline, a consacré un film à cet événement, et un site Web complémentaire à visiter à tout prix, The Gate of Heavenly Peace.

FRANCE : L'ÉCLATEMENT
Il y avait malaise depuis un certain temps, mais voilà que la crise socio-politique a éclaté en France, avec l'adoption éventuelle de la Loi Debré sur l'immigration, le tout se jouant sur la toile de fond des récents succès politiques de l'extrême-droite aux élections municipales, commentés à sa manière par Le Canard enchaîné.

C'est maintenant des dizaines de groupes qui appellent à la désobéissance civile, avec pour symbole sur Internet le ruban vert diffusé sur le site ralliement Europea, pour contester des dispositions du projet de loi qui exigeraient que les personnes ayant hébergé un ressortissant étranger soient tenues d'en signaler le départ aux autorités locales.  En fait, on veut en finir pour de bon avec les certificats d'hébergement de ressortissants, enchâssés dans la loi depuis 1982.  Chronologie des événements premiers : l'excellent (et nouveau) site Hebdonet, le sommaire des informations de France 2, pour la semaine du 10 au 16 février, sans oublier le dossier très complet (y compris le libellé du projet de loi) de la chaîne FR3.

Comme le souligne, entre autres, Le Monde libertaire, citations à l'appui, il y a d'inquiétantes ressemblances entre le projet de loi Debré et d'autres lois adoptées à des heures moins glorieuses de la France.  Article 5 de l'ordonnance du 10 décembre 1941 du gouvernement de Vichy, relative au contrôle des juifs : «Les personnes juives ou non juives qui hébergent des juifs à quelque titre que ce soit, devront faire au commissariat de police une déclaration spéciale [...].  Cette déclaration devra être faite dans les 24 heures de l'arrivée du juif [...]».  Article premier du projet de loi Debré sur l'immigration, novembre 1996 : «Toute personne ayant signé un certificat d'hébergement et hébergé un ressortissant étranger, dans le cadre d'une visite privée au sens du présent article, doit informer la mairie de sa commune de résidence du départ de l'étranger accueilli [...]».

Le gouvernement semble rester sourd à l'avis du Conseil d'État qui, dans sa note du 31 octobre 1996, peu après le dépôt du projet de loi, rejetait catégoriquement la mesure : «[...] les modifications introduites par cet article [...] feraient peser sur l'hébergement des obligations nouvelles assorties de sanctions.  Ces modifications auraient ainsi pour effet de transformer la nature même de la procédure [...] et porteraient atteinte à la liberté individuelle et à la vie privée de l'hébergeant».

Réveil tardif des intellectuels français, les cinéastes ont été les premiers à ouvrir l'oeil et à publier leur Manifeste, ainsi qu'un appel à la désobéissance civile.  L'appel des «59», devenus depuis les «66», se répercute sur le Web où viennent s'ajouter pétitions et campagnes d'envoi de courrier électronique aux dirigeants français, y compris sur le site franco-québécois CaféIn/Écran Noir et sur le site français du Scarabée.  Puis, par milliers, ce sont les comédiens, les journalistes, les professionnels et autres groupes qui se joignent au mouvement.

Le gouvernement songe à céder aux pressions et à modifier son projet de loi; des manifestations s'organisent; mais l'opinion publique suivra-t-elle?  Pas évident, si on compte avec un sondage IFOP-Libération selon lequel six Français sur dix sont favorables à la disposition du projet de loi Debré, qui oblige les personnes hébergeant des étrangers à déclarer leur départ à la mairie.

En filigrane à cette montée aux barricades, les craintes de voir le Front National gagner encore du terrain à l'approche des législatives de 1998.  Selon un sondage Ipsos-France 2 de l'électorat français, 47 % des Français et Françaises voient dans le mouvement de Jean-Marie Le Pen un parti politique comme les autres, même si 66 % ne se sentent pas proches des thèses du FN.  Pôle du sentiment anti-FN dans la crise actuelle, ses politiques en matière d'immigration, mais aussi cristallisation dans l'affaire du Théâtre National de la Danse et de l'Image de Châteauvallon (Toulon, mairie FN) dont le directeur fondateur, Gérard Paquet, a été licencié car il refuse de dépendre de la mairie «d'extrême-droite» par l'entremise de subventions municipales.

Pendant ce temps, le Front National de Jean-Marie Le Pen prétend que le débat sur l'immigration est une tempête dans un verre d'eau, et le fait avec une rhétorique qui nous a porté à allonger le bras vers les dictionnaires lorsqu'il qualifie de «picrocholin» le «pseudo-débat sur l'immigration clandestine entre majorité et opposition, abondamment relayé par les privilégiés du show-bizz».  Picrocholin [picro- du grec pikros «amer» et chol- du grec kholê «bile»], c'est bien ce que risque d'être le congrès du FN à Strasbourg, le 29 mars prochain, s'il n'en tient qu'aux Jeunes contre le racisme en Europe qui promettent de répondre présent à l'appel de mobilisation anti-FN.

Débat et événements à suivre à chaud sur le service Reuter relayé par Yahoo! France et celui de l'Agence France Presse sur le site de Nomade.

ET AU QUÉBEC?
À défaut d'un présent d'extrême-droite à combattre, on se tourne vers le passé pour voir si, oui ou non, notre société aurait eu de vilaines tendances dans les années trente et quarante, tendances qui persisteraient toujours.  La démission du lieutenant-gouverneur du Québec, Jean-Louis Roux, mis au ban de l'opinion pour avoir arboré la croix gammée sur son sarrau d'étudiant, a rappelé de bien sombres souvenirs dont la presse du rest of Canada a fait ses choux gras.  L'Actualité nous livre dans son numéro courant un excellent dossier, «Dis-moi la vérité! : 1930-1945, Le mythe du Québec fasciste».  Livraison en vrac : les travaux d'une historienne qui «ne se gêne pas pour associer le nationalisme canadien-français des années 30 et 40 au nazisme», historienne ayant reçu une formation non pas en histoire, mais en sciences politiques, notamment auprès de chercheurs israéliens spécialisés en analyse du discours antisémite et nazi; rapport confidentiel de 1942 sur deux jeunes activistes, adressé au Secrétariat d'État américain par le consul des États-Unis à Québec, rapport inspiré d'une enquête de la Gendarmerie royale du Canada (GRC); commentaires de l'historien canadien Sean Purdy d'après qui «la critique du nationalisme québécois entourant l'affaire Roux a été une attaque déguisée contre le nationalisme québécois actuel, [fondée sur] une dissimulation de sa propre histoire par le Canada anglais».  Et en guise de conclusion aux tentatives du Canada anglais de ranimer l'idée d'un Québec aux tendances fascistes, incompétent à se gouverner, l'analyse du correspondant culturel du Globe and Mail au Québec, Ray Conlogue : «L'idée de base est de convaincre la minorité qu'elle est inapte à s'autogouverner.  On commence par insinuer qu'elle n'en a pas la compétence économique.  Si cela ne fonctionne pas, on l'accuse de quelque chose de beaucoup plus grave : l'incompétence morale.» Un dossier à lire au complet, à conserver, il pourra servir plus tôt qu'on ne le pense.

Et cette collusion Canada/États-Unis, dont il est question dans le dossier de l'Actualité et qui vise à bien surveiller ce qui se passe au Québec, se poursuit toujours.  Plus récent chapitre, l'affaire Keener.  Keith Keener est un analyste et spécialiste des questions canadiennes à l'emploi de la Defense Intelligence Agency américaine (DIA).  Keener poursuit son employeur devant les tribunaux pour atteinte à ses droits constitutionnels.  En effet, la DIA aurait interdit à Keener d'assister à une conférence organisée aux États-Unis par l'Association for Canadian Studies, où il sera question de la situation politique Québec/Canada.  Cette révélation est issue des documents afférents à la plainte, où on apprend que, le 4 novembre dernier, le major des Forces canadiennes Michel Prud'homme, en affectation à la DIA et agissant dit-il pour le compte de l'agent de liaison militaire canadien auprès de la DIA, le colonel R.J. Taylor, aurait demandé à Keener des renseignements sur le chef de la délégation du Québec à Washington, Marc Boucher.  Keener a alors informé des diplomates canadiens de cette demande pour le moins incongrue et contraire aux règles, mais il s'est vu retirer du dossier des questions canadiennes par la DIA dès le lendemain.  En outre, personne, ni du côté américain, ni du côté canadien, n'a jugé opportun d'informer Marc Boucher de l'attention toute particulière que lui portaient les services de renseignements militaires.  Article du Globe and Mail.

IDENTITÉS
Sans vouloir banaliser les grands débats politiques et de société que nous venons d'évoquer, mais plutôt d'alléger un peu le propos, un point de vue sur le nouvel enjeu ethnique au Québec : rien de moins que les téléromans.  Il y a quelques jours à Montréal, les participants à un colloque se sont demandés si le téléroman québécois, comme genre télévisuel, faisait une place aux «communautés culturelles [...] au-delà de l'ethnique de service».  Évidemment non, selon les représentants des communautés, et, d'après les spécialistes, ce serait la faute des Québécois «de vieille souche» qui n'auraient pas encore réglé leurs propres problèmes d'identité.  Ah bon.  J'avoue, en regardant au passage «La P'tite Vie», me demander si je vis dans le même pays, voire sur la même planète, que Pôpa et Môman.  Je n'ai pas assisté au colloque, je regarde peu les téléromans, je ronfle souvent dans les deux cas.  Mais ce bref entrefilet sur le colloque, lu dans un journal, n'était pas sans rappeler une analyse du Centre d'études sur les médias (CEM), réalisée par Serge Proulx et Danielle Bélanger de l'UQUAM, qui sont arrivés à la conclusion que les téléromans québécois choquent des membres des communautés culturelles.  Pourquoi?  Scènes explicites de sexe, mais aussi rapports parents/enfants présentant un caractère égalitaire et direct, qui sont considérés impolis et grossiers par les membres des «communautés culturelles».  Analyse intéressante à lire, comme les autres publications du CEM, également disponibles sur le site Web.  Si les téléromans vous passionnent, ou si le phénomème vous intéresse, rappelons que le Musée de la civilisation à Québec présente, jusqu'au 8 février 1998, son exposition Téléromans.

LE BESOIN SE SAVOIR
Depuis sa mise en service, NewsHub ne cesse de nous impressionner.  Déjà, de légers changements cosmétiques ont rendu la présentation plus agréable, mais sans compromettre l'efficacité et la rapidité du chargement qui font que NewsHub domine présentement ce marché.  Rappelons que NewsHub affiche, sous forme de grands titres, les résultats d'un agent de recherche qui scrute une vingtaine de sources anglophones d'information technologique, et ce toutes les quinze minutes.  Ces résultats sont présentés au choix selon l'heure (la minute) de la plus récente actualisation ou selon la source d'information.

En français, la rubrique quotidienne de Le Monde informatique constitue une excellente source d'information, de même que le service plus pointu de 01 Informatique (accès à un mini dictionnaire en prime), les nouvelles et dossiers d'Informatiques Magazine Online, la section dépêches d'Adminet, le panorama au jour le jour vu de Suisse de Netsurf, les actualités techno/multi/réseaux vues du Québec de Multimédium, la perspective commerciale de Bénéfice.Net, sans pour autant oublier la nouvelle adresse des Chroniques Digitales.

NORME 32 MEGA
Ça y est, on s'y attendait, mais voilà qu'un revendeur britannique vient de décréter que 32 méga-octets (Mo) de mémoire vive (RAM) sera désormais la norme des systèmes PC qu'il offre en forfait à sa clientèle.  Même son de cloche chez le fabriquant Dell.  En fait, selon certains tests, les Pentium 166 MHz disposant de 32 Mo offriraient un rendement supérieur à celui des Pentium 200 MHz si ces derniers ne disposent que de 16 Mo, question de gestion d'échange de fichiers temporaires et de mémoire tampon, apanage des nouveaux logiciels mnémonivores.  Ce sera donc la chasse au RAM dont le prix est de plus en plus abordable.

SÉCURITÉ
Ce qui nous amène à parler d'une étrange tendance en matière de crime lié à l'informatique.  Selon le service britannique de ZDNet, la valeur marchande des barrettes de mémoire RAM a tellement baissé qu'elles n'intéressent plus les voleurs professionnels.  En revanche, c'est le petit larcin qui fleurit et qui commence à inquiéter les entreprises et organismes disposant d'un parc informatique.  Bon nombre auraient constaté que des employés «cannibalisent» les systèmes d'entreprise, retirant des barrettes de mémoire pour les installer sur leurs systèmes personnels.  C'est une des questions qui sera abordée à Londres du 29 avril au 1er mai prochains à l'occasion de la conférence InfoSecurity '97.  Les chiffres sont alarmants.  Aux États-Unis, le «pillage» de systèmes représente des pertes de huit milliards de dollars par année; 60 % des vols sont imputables au personnel interne; les pertes annuelles de productivité qui en découlent s'élèveraient à six millions d'heures-personnes.  La vigilance sera donc de mise pour les responsables d'installations.

MINING CO., UN FILON PROFITABLE?
Nous vous parlions la semaine dernière du projet Mining Co. de service en ligne et de la remise de 40 % des recettes publicitaires faite aux producteurs indépendants de contenus.  Le chroniqueur bien connu Robert Seidman, dans son bulletin Insider Online, s'est penché sur la question et précise qu'il faut plutôt parler de 30 % remis aux producteurs indépendants, 10 % des recettes étant affectées à des bonis et primes.  Seidman se lance dans un exercice arithmétique : si Mining Co. atteint cinq millions de pages vues par jour (son objectif est de 10 à 15 millions de pages), à deux bandeaux publicitaires par page, on arrive à 300 millions d'impressions publicitaires par mois.  À un tarif CPM «coût par mille» de 30 $, les recettes mensuelles de Mining Co. seraient de 9 millions de dollars, dont 30 % iraient au producteurs, soit environ 2,7 millions de dollars.  Un producteur qui attirerait un dixième de un pour cent de l'achalandage total du service en ligne (5 000 requêtes de page par jour, 150 000 par mois) pourrait donc retirer 2 700 dollars par mois.  Mais le modèle tiendra-t-il?  Si le marché anglo-saxon est beaucoup plus vaste, il en va aussi de la concurrence sur le plan des contenus.  De plus, d'où viendront les annonceurs, si on considère que la pub en ligne représente actuellement un marché annuel d'environ 200 millions de dollars?  Mining Co. devrait donc, pour atteindre ses objectifs, s'accaparer 50 % de ce marché.  À suivre.

NORMES DE BANDEAUX PUBLICITAIRES
Aux États-Unis, un groupe de travail, composé de représentants des principaux éditeurs américains de sites Web commercialisant des espaces publicitaires, vient de proposer l'adoption de huit formats de bandeaux, ce qui devrait simplifier le travail des concepteurs publicitaires, des concepteurs de sites et aussi des agences.  Au Québec, ne voulant pas demeurer en reste, le Groupe de travail sur les applications publicitaires d'Internet (Publicis-BCP, Bell Canada, Télémédia Communications, Cossette Communication-Marketing, Vidéotron, Services PC; Conseil des directeurs médias du Québec, Invention Media, Radio-Canada) recommandera aussi une normalisation suivant les formats proposés par le groupe américain.  Ironie de la situation ici, contrairement à la démarche américaine, on constate une sous-représentation manifeste des concepteurs de sites qui devraient normalement avoir leur mot à dire.  Dommage.  Détails dans Info-Presse.

LECTURES RAPIDES
L'univers post-HTML, le Web tel qu'on le connaît en désuétude, l'invasion de la technologie push, c'est ce que nous annonce Wired (contenu intégral en ligne prévu le 20 février) dans son numéro présentement en kiosque.  Mais aussi la perception qu'a Umberto Eco de l'Internet et de la plus récente vague d'euphorie qui gagne les milieux de la publicité sur le Web.

L'auguste Scientific American consacre, ce mois-ci, un numéro spécial à l'Internet (intégral en ligne).  Signalons l'article de notre ami Bruno Oudet, président du chapitre français de l'Internet Society, ISOC France, selon qui le Québec, avec 5 % de la population francophone mondiale n'en est pas moins l'origine de 30 % des contenus de langue française véhiculés sur l'Internet.

BEAU DÉTOUR
À la recherche d'un site offrant une vision artistique de la Chine de demain, ce sont les dessins d'enfants du très beau site norvégien, The Children's Art Gallery qui, cette semaine, ont attiré notre attention.  Une vingtaine d'oeuvres de jeunes enfants chinois, exécutées avec une maîtrise étonnante, et celles d'autres enfants de plus d'une vingtaine de pays.  À l'aide de l'outil de recherche assez particulier, vous pouvez déterminer le sujet des dessins que vous voulez visionner, soit des animaux, des personnes, des rêves, des paysages.  Vous pouvez aussi choisir le pays d'origine des enfants, le groupe d'âge, l'année de la création, ou encore télécharger l'ensemble de la collection pour la visionner hors ligne.  Un point de vue, pour le moins, rafraîchissant.

12/18
Il y a 12 mois, dans la Chronique du 23 février 1996, nous vous avons présenté MegaHertz, un excellent site sur les micro-processeurs de l'étudiant en génie informatique, Patrick Beaulieu, amateur aussi de la Formule 1.  Et, le site Eole, une source indispensable et très complète pour tout savoir sur les éoliennes et l'énergie du vent.

Et, il y a 18 mois, dans la Chronique du 23 septembre 1995, la Forêt virtuelle de l'Université Laval, en attendant le retour du printemps, et les Trésors des tsars.

Bonne semaine à tous et à toutes,

Jean-Pierre Cloutier
jpc@cyberie.qc.ca

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