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Décision 1997

Archives des actualités
Mise à jour : 13 mai 1997, 7 h 15, 8 h

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Élections au Canada le 2 juin : l'interminable divorce québécois
«Sur le plan politique, c'est le blocage complet.  Malgré l'échec frustrant du dernier référendum, l'idée souverainiste ne semble pas faiblir sur les rives du Saint-Laurent.  Les sondages disent même qu'elle monte dans la population jeune.  De tous les mouvements nationalistes occidentaux, le québécois est le plus fort et le plus réussi, et il faudrait un facteur puissant pour que le courant s'inverse, estime Phillip Resnick, politologue à l'Université de Colombie-Britannique à Vancouver.»
Le Soir (Bruxelles), 13 mai 1997

No defining moments for voters in leaders debate
Pour Rosemary Speirs du Toronto Star, Jean Chrétien n'a pas perdu la face au débat des chefs, mais il partait avec une avance de 20 points.
Toronto Star, 13 mai 1997

Truth Has Not Come Easy
Selon l'éditorialiste du quotidien de Federicton, l'affaire Parizeau justifie la demande du gouvernement fédéral de demander à la Cour suprême de trancher sur le droit du Québec à se séparer.  Autre leçon pour le Canada : il faudra bien comprendre ce que veulent les souverainistes lors du prochain référendum.
Fredericton Daly Gleaner, 12 mai 1997

Parizeau, fidèle à lui-même
«D'où vient l'idée que M. Parizeau aurait été tenu d'attendre un an avant de proclamer l'indépendance, après un référendum gagnant?  La seule échéance mentionnée dans l'entente préréférendaire est que les négociations avec le reste du Canada devaient durer un an "au maximum", ce qui veut dire qu'elles auraient pu, advenant un blocage, ne durer que vingt minutes.  Plus encore, il était clairement stipulé que l'Assemblée nationale aurait pu en décider autrement - donc réduire ou allonger la période de négociations.»
Vigile / La Presse (Lysiane Gagnon), 10 mai 1997

Le petit jeu
«En se jetant sur cette triste affaire comme un chien sur son os et en associant les élucubrations d'un seul homme à un projet collectif, les libéraux fédéraux ont fait preuve de mépris face à la tradition démocratique du Québec.  Du coup, ils ont brûlé tous les profits politiques qu'ils auraient pu en tirer chez les électeurs québécois.»
Vigile / La Presse (Agnès Gruda), 10 mai 1997

Le grand rêve d'un orthodoxe
«Mais le grand rêve demeure intact, de même que le "Grand Jeu" dont il parle dans l'extrait de Pour un Québec souverain, qui a secoué tous les pions politiques depuis mercredi matin.»
Vigile / Le Devoir (Gilles Lesage), 9 mai 1997

Banks More Cautious About Loans To Parties
Les libéraux et les conservateurs auraient négocié des marges de crédit d'environ 5 millions de dollars auprès des banques canadiennes; dans le cas du Reform, ce serait autour de 3 millions de dollars.  Mais les banques sont prudentes devant l'incertitude de l'appui aux partis.
Hill Times, 12 mai 1997

Manning Faces More Hostile Press Gallery Than PM
Le chef réformiste dit ne pas être aussi bien traité que le premier ministre par les journalistes de la galerie de la presse, et le columnist Claire Hoy lui donne raison.
Hill Times, 12 mai 1997

Caricature du jour - Bado
La question (approuvée par Ottawa).
Le Droit, 13 mai 1997

Caricature du jour - Berthio
Le théâtre suprême.
Le Soleil, 13 mai 1997

Caricature du jour - Donato
Débat captivant?
Toronto Sun, 13 mai 1997

Une foire d'empoigne : Charest marque des points au débat anglais
«Jean Charest s'est imposé au débat des chefs en anglais, hier, attaquant à la fois Jean Chrétien et Preston Manning tout en se faisant l'apôtre d'une réduction des impôts, la pierre angulaire de son programme électoral.»
Le Soleil (Joël-Denis Bellavance), 13 mai 1997

Deux vedettes et trois figurants : Le débat anglophone des chefs s'avère surtout un duel Chrétien-Charest
«Dès le premier round, le débat a pris des allures de foire d'empoigne : Charest avait l'air d'un pitbull toujours prêt à sauter à la gorge de Jean Chrétien.  Preston Manning aboyait en arrière tandis que la pauvre Alexa McDonough ne pouvait placer un mot.  Gilles Duceppe, dans son coin, était carrément ignoré.»
Le Droit (Michel Vastel). 13 mai 1997

Un débat décevant
«Une fois la question posée, c'était la foire-d'empoigne entre les leaders : aucune discipline, c'était à qui criait le plus fort.  Ces échanges ont peut-être permis de mesurer l'habileté oratoire et les réflexes des chefs de partis, mais on n'a rien appris de plus sur les programmes et les politiques.»
Le Soleil (Gilbert Lavoie), 13 mai 1997

Le but recherché
«Dans une élection où bien des électeurs ont du mal à discerner les enjeux, la question référendaire prend de plus en plus de place.  La trop prévisible réélection des libéraux de Jean Chrétien va laisser le problème québécois entier.  Comme leur avance paraît insurmontable, les Canadiens s'inquiètent.  Se montreraient-ils plus accommodants pour sauver leur pays de la déchirure?»
Le Droit (Murray Maltais), 13 mai 1997

Parizeau remercie ceux qui lui ont fait confiance : «On a tenté de me déshonorer»
«Il a fait valoir que le Québec n'aurait promulgué unilatéralement sa souveraineté que si le Canada avait refusé son offre de partenariat.  Il a soutenu que ce qu'il a appelé le "Grand jeu", le processus de reconnaissance internationale, aurait été des plus importants dans ce contexte.»
Le Droit (Presse canadienne), 13 mai 1997

Jacques Parizeau met le pied dans la campagne : «La réélection du Bloc est essentielle»
«"Ce qui est le plus grand danger à l'heure actuelle, c'est l'attentisme.  L'attentisme ou le bof...!  C'est ça qui est le grand danger, pas les libéraux avec leur appel à la Cour suprême, leurs histoires de juridismes", soutient M. Parizeau qui craint que ne se répète le 2 juin ce qui s'est produit à la récente élection complémentaire de Prévost où cet attentisme a failli coûter la victoire au Parti québécois.»
Le Droit (Presse canadienne), 12 mai 1997

The debate over, spin doctors come to the rescue
Les adjoints aux communications et stratèges des candidats, les «spin doctors», étaient à l'oeuvre hier soir pour souligner aux journalistes les bons points marqués par leurs chefs de partis respectifs.  Cette action auprès des médias est des plus importante, car les études révèlent que les électeurs sont davantage influencés par la couverture médiatique des débats que par les débats eux-mêmes.
Southam Newspapers, 13 mai 1997

Charest offers least cluttered image in debate
Sur le plan de la forme, Jean Charest se distinguait des autres candidats hier par son aisance.
Globe and Mail, 13 mai 1997

Parizeau still makes no concessions
Selon le Globe and Mail, le livre de Jacques Parizeau confirme que la seule solution envisgeable pour lui est l'indépendance du Québec; certains passages du livre le mettent en opposition à la démarche de Lucien Bouchard.
Globe and Mail,13 mai 1997

Low expectations save the debate: Mediocrity was the order of the day
Pour Ron Corbett du Ottawa Sun, le débat a offert une performance médiocre de la part des candidats et seul le peu d'attentes que le public ait eu face au débat évite que tout l'exercice soit qualifié de vain.
Ottawa Sun, 13 mai 1997

Chretien escapes lobster trap
Bien que Jean Chrétien ne soit pas sorti grand vainqueur du débat d'hier, Michael Harris croit que le premier ministre a tout de même évité le pire.
Toronto Sun, 13 mai 1997

Parizeau book launch a sovereignist love-in
Il y avait foule au lancement du livre de Jacques Parizeau, mais Hubert Bauch du Montreal Gazette aurait aimé que l'auteur s'adresse davantage à la presse et explique à fond ses propos.
Montreal Gazette, 13 mai 1997

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