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Mise à jour : 14 mai 1997, 7 h, 7 h 45, 9 h

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Caricature du jour - Bado Proposition d'une nouvelle forme de débat Le Droit, 14 mai 1997 Caricature du jour - Berthio Cacophonie des chefs Le Soleil, 14 mai 1997 Caricature du jour - Donato Le débat Toronto Sun, 14 mai 1997 Caricature du jour - Aislin Le politiciens serrent les dents Montreal Gazette, 14 mai 1997 L'animatrice Claire Lamarche victime d'un malaise «Mme Lamarche a repris conscience quelques minutes plus tard après avoir reçu des soins d'urgence, mais les chefs ont préféré mettre fin au combat oratoire compte tenu des circonstances troublantes.  Le débat a été interrompu au moment fort attendu où le premier ministre était interrogé à savoir s'il reconnaîtrait un OUI majoritaire au prochain référendum sur la souveraineté.» Le Soleil, 14 mai 1997 Fin dramatique : Claire Lamarche, l'animatrice du débat des chefs, s'effondre «Au moment où les chefs politiques devaient aborder le thème crucial de l'unité canadienne, l'animatrice Claire Lamarche a été victime d'un malaise qui a nécessité son hospitalisation et coupé court au débat télévisé des chefs, hier soir.» Presse canadienne (Le Droit), 14 mai 1997 Hors de danger «Claire Lamarche, l'animatrice-vedette du réseau TVA, était considérée comme hors de danger, hier soir, après qu'elle eut perdu connaissance sur le plateau de télévision du centre des conférences à Ottawa.» Le Soleil, 14 mai 1997 Un malaise coûteux pour Duceppe «Le débat a été interrompu au bien mauvais moment pour le chef du Bloc québécois.  Le journaliste Jean-François Lépine ouvrait la dernière portion des échanges en amenant les chefs sur les lendemains d'un OUI à un troisième référendum.  Le chef bloquiste attendait ce moment depuis le début de la confrontation.» Le Soleil, 14 mai 1997 Les sondages électoraux «Un nouveau sondage CROP-TVA-La Presse, réalisé du 6 au 10 mai, avant les débats des chefs, donne le chef bloquiste Gilles Duceppe en avance d'un point sur le premier ministre Jean Chrétien, dans les intentions de vote des Québécois.  Jean Charest demeure premier quant à la confiance des électeurs du Québec, avec 31 points, mais son parti stagne toujours à 20 points dans les intentions de vote.  Dans les deux précédents sondages, le Parti libéral avait devancé le Bloc par moins de deux points dans la faveur populaire.  À surveiller : le prochain sondage qui aura été réalisé après les débats.» Le Droit, 14 mai 1997 Une démocratie propre «L'exercice du droit démocratique doit s'entourer de règlements précis.  S'il est impossible de prévoir toutes les situations, du moins ces règlements doivent-ils couvrir le plus large possible pour s'assurer, au bout du compte, que le geste d'une personne inscrivant clairement son choix sur le bulletin équivaut à un vote : ni plus, ni moins.» Le Droit (Murray Maltais), 14 avril 1997 La «unity» «Il y a trop d'hypocrisie dans cet intérêt soudain du Canada anglais pour la "unity" pour que ce ne soit pas suspect.  À vrai dire, à regarder nos leaders nationaux parler du Québec, une main sur le coeur et l'autre pointée, doigt levé, vers Gilles Duceppe, une expression de Lucien Bouchard m'est revenue à l'esprit : "Le Canada, c'est une passementerie d'hypocrisies."» Le Soleil (Michel Vastel), 14 mai 1997 Le tout pour le tout «Si on ne connaissait pas les habitudes de vie scrupuleusement sobres du pasteur Manning, on oserait demander ce qu'il a bien pu fumer.  Mais, comme le disait autrefois le ministre libéral et parrain québécois de Pierre Trudeau, Marc Lalonde : quand le pendu voit la corde, ça le porte à réfléchir.» Le Droit (Michel Gratton), 13 mai 1997 French debate has a distinct flavor to it Christie Blachford du Toronto Sun souligne les grandes différences des débats anglais et français qu'elle accorde à des différences culturelles «distinctes».  Elle souligne l'incident Claire Lamarche et loue les caméras de Radio-Canada de n'avoir point joué de sensationnalisme en respectant l'intimité de Madame Lamarche dans ce moment difficile et embarrassant. Toronto Sun, 14 mai 1997 Duceppe fights for lost ground Jusqu'à sa fin abrupte, le débat des chefs a été marqué par des échanges personnels acerbes sur fond de toile d'unité canadienne selon le Globe and Mail.  M. Duceppe a bien tiré sa carte du jeu, peut-être mieux que les autres chefs, mais aucun des participants n'a pu prétendre à une victoire décisive. Globe and Mail, 14 mai 1997 Duceppe's lost shot at unity issue: Assessing the effect La fin prématurée du débat des chefs, qui n'a pas permis d'aborder la question d'unité nationale, vient s'ajouter à la liste des difficultés que connaît le chef bloquiste Gilles Duceppe qui s'est vu privé d'une occasion privilégiée de refaire l'image de sa campagne. Globe and Mail, 14 mai 1997 Charest success in debates inspires Tory campaign La bonne performance de Jean Charest au premier débat des chefs vient dynamiser la campagne des conservateurs qui se plaignaient du peu de cas fait par la presse nationale à leur parti. Globe and Mail, 14 mai 1997 Defending Canada is suddenly in style L'éditorial du Toronto Star souligne comment la campagne a soudainement fait renaître dans certaines régions un amour du pays et une reconnaissance qu'après tout, le système canadien ne fonctionne pas si mal. Toronto Star, 14 mai 1997 Was that a TV debate or a passion play Après le premier débat, le columnist Dalton Camp trouve que cet exercice ressemble à du grand théâtre.  Et comme toute pièce de théâtre a besoin d'un vilain, c'est à Gilles Duceppe qu'est revenu le rôle de vilain, souvent plus important que celui du héros. Toronto Star, 14 mai 1997 Chretien lost it all the way Pour le chroniqueur Paul Jackson du Calgary Sun, Chrétien a perdu sur toute la ligne dans le premier débat auquel manquait cet élément tranchant des confrontations à deux, comme c'est le cas aux États-Unis.  Trop de participants, messages dilués, Gilles Duceppe n'aurait même pas du prendre part à un débat des chefs «nationaux». Calgary Sun, 14 mai 1997 Debate sound bites hit Tory ads Fiers de la performance de leur chef lors du premier débat, les conservateurs vont utiliser certains de ses moments forts dans des publicités. Ottawa Sun, 14 mai 1997 Politicians in all parties just tiptoe around the race issue Selon Owen Lippert, les politiciens évitent prudemment d'aborder les questions raciales au cours de la campagne. Financial Post, 14 mai 1997 Quiz parties on abortion, bishops urge: Catholics must also examine candidates' efforts for the poor, pre-election pamphlet says La Conférence canadienne des évêques invite les lecteurs à examiner les programmes des parti politiques en fonction de leurs prises de position sur l'avortement, la pauvreté et autres questions d'ordre social.  Un dépliant à cet effet sera distribué dans toutes les églises du pays au cours des deux prochaines semaines. Ottawa Citizen, 14 mai 1997 1,672 candidates register for vote Il y a 1 672 candidats inscrits aux prochaines élections, dont 1 264 hommes et 468 femmes.  Dix partis répondent aux exigences minimales (50 candidats) pour être reconnus officiellement.  Les candidats indépendants sont au nombre de 76. Ottawa Citizen, 14 mai 1997 Quebec's status becomes issue at local forum La question de l'égalité des provinces par rapport à un statut distinct du Québec a ses échos lors d'un débat local en Alberta. Lethbridge Herald, 14 mai 1997 Parti progressiste-conservateur du Canada - Les statistiques confirment l'appauvrissement des canadiens «La lutte au déficit a servi de prétexte à 40 hausses de taxes depuis 1993, qui sont allées chercher 21 milliards dans la poche des contribuables, en plus de freiner la création d'emplois.  Les répercussions de ces choix discutables sont maintenant connues.» Canada NewsWire, 14 mai 1997 L'Agonisant se met à danser «Lors du dépôt des budgets fédéraux des dernières années, on nous assurait que sans coupures draconiennes des programmes sociaux, le Canada deviendrait un pays du tiers-monde.  Tout à coup, l'agonisant se lève et se met à danser.» Planète Québec (Léo-Paul Lauzon et Michel Bernard, Chaire d'études socio-économiques de l'UQAM), 14 mai 1997

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